Projet ingénieur Technologies médicales et de santé

En 4e année (M1), les élèves ingénieurs de l’ISEN réalisent un projet durant 3 mois.

Il s’agit d’un projet technologique en abordant des problématiques techniques, mais également d’ergonomie d’organisation.

Une véritable mise en situation de leur futur métier d’ingénieur.

Chloé et Adrien ont choisi de travailler sur un projet de Technologies médicales et de Santé. Ils ont développé une application permettant de traiter des images médicales prises en microscopie optique. Le traitement qu’ils y applique vient en aide aux médecins et biologistes pour caractériser des cellules en fournissant un grand nombre de mesures de manière automatisée.

Projet ingénieur : Caractérisation de cellules – Traitement et analyse d’images en microscopie optique.

Chloé et Adrien ont choisi leur domaine professionnel (années 4 et 5 du cursus ISEN Yncréa) en Technologies Médicales et de Santé et en Ingénieur d’affaires.

Ils ont développé l’application permettant le traitement et l’analyse de coupes cellulaires en mettant en œuvre les acquis de leurs premières années à l’ISEN.

Le projet ingénieur de 4e année à l’ISEN consiste en un travail en binôme, sur une durée de 10 semaines. C’est un moyen de concrétiser toutes les matières scientifiques et techniques apprises lors des trois premières années sur un sujet concret.
Le projet de Chloé et Adrien consiste à développer un outil pour les chercheurs et les biologistes qui souhaitent prendre des mesures sur des images acquises par microscope optique. Il s’agit de traiter les images pour permettre de les analyser et en tirer des données permettant de caractériser la nature ou l’état de santé d’un tissu, de manière rapide et précise.

 

Le binôme a organisé le projet en 3 grandes étapes :

  • Acquisition d’images en microscopie optique
  • Traitement d’image sous MatLab
  • Présentation des données et ergonomie Web.

 

Actuellement, le calcul des surfaces de cytoplasme et des noyaux se fait « à la main ». Ce projet permet d’automatiser le process et de porter à une autre échelle la quantité d’images à traiter. Une aide précieuse pour les biologistes et les chercheurs !